La suite nous ammene logiquement à 1969 avec un Bowie toujours à contre courant, qui se fait désormais
plus folk et adopte un nouveau look.
C'est donc l'été 1969 qu'il enregistre l'album Space Oddity, inspiré par Stanley Kubrick et initialement
nommé Man of Words/Man of Music, qui comme ses autres projets jusque là sera un échèc, tout du moins
jusque 1972 et ce que partiellement.
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En effet, la même année l'homme fait ses premiers pas sur la lune et les émissions sur Apollo passionnent
la population, et c'est ainsi que la chanson Space Oddity, parlant d'un astronaute dans l'espace (mais en réalité d'un junkie,
vous en aurez la preuve plus tard) est propulsée générique d'émissions consacrées à la conquête spatiale est
obtient une 5e position dans les charts en Angleterre, ce qui est un petit succés pour Bowie, mais pas des moindres,
son premier succés,
Cygnet Committeehttp://www.fileden.com/files/2009/11/24 ... mittee.mp3Pour cet album, Bowie fait appel à des collaborateurs, qui comme souvent par la suite, laisseront
une marque dans l'histoire du rock. On retrouve entre autre à la basse Herbie Flowers, Rick Wakeman
aux claviers et un certain Tony Visconti qui jouera tout du le long de sa carrière, un rôle trés important chez Bowie.
Wil Eyed Boy From Freecloudhttp://www.fileden.com/files/2009/11/24 ... ecloud.mp3Entre ballades folk, avec parfois des accents progressifs, l'album est marqué par l'influence de Dylan
(Unwashed and Somewhat Slighty Dazed), par des chansons d'amour (Letter to Hermione), une inspiration buddhiste
(Wild Eyed Boy From Freecloud) et une conclusion en hommage au festival de Beckenham (Memory of a Free Festival)
à la façon des Beatles sur Hey Jude.
Memory Of A Free Festivalhttp://www.fileden.com/files/2009/11/24 ... stival.mp3Avec un style et une voix qui commencent à s'affirmer, Bowie ne rate pas tout avec cet album,
qui aujourd'hui est considéré comme une pièce maitresse du rock, surtout dans la carrière de Bowie,
car on peut dans certains cas considérer Space Oddity, comme son véritable premier album et cette
chanson lui permettra en 1970, de faire sa première apparition à la TV en tant que chanteur...
Je profite du retour de Bowie pour un peu plus découvrir son travail et je me penche donc sur ce disque qui est le second mais qui marque aussi le vrai début de bowie
Un très bon disque je trouve. A dominante acoustique ce qui n'est pas pour me déplaire
Les compositions sont tjs bonnes même si presque tout le disque souffre de la comparaisaon avec la chanson d'ouverture qui canabilise un peu l'album
J'aime bien le bowie intimiste que l'on découvre sur certains titres. C'est justement le côté grandiloquant qui m'a tjs dérangé chez lui. L'entendre simplement accompagné d'une guitare sur Letter to Hermione par exemple est une chouette surprise. Sa voix est aussi mis en valeur sur ce genre de chanson
Dommage par contre que certaines chansons trainent un peu en longueur. : Cygnet committe par ex. belle chanson mais qui s'essouffle un peu sur 9 minutes
Premières impressions à confirmer sur la longueur
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. Quel bourdon. Il vient de diminuer de 80% la luminosité de ce déjà sombre après-midi 
