|
Bonjour à toutes et tous,
Hello, Captain Némo ! vous étiez en plongée ? LOL ... ça pourrait être intéressant que vous nous parliez de votre vie dans les cabarets montmartrois de l'époque. J'y ai moi-même rencontré des "personnages"... Brel et son pote inséparable (à l'époque) Sim ! Ils "couraient le cachet", de cabaret en cabaret jusqu'à... "point d'heure" (comme disent les Ardéchois). C'était la "grande guerre" entre les pro-Bécaud et les pro-Aznavour... Pour ma part et "à l'époque", il n'y avait pas "photo" !!! Bécaud était Monsieur 100 000 volts, quand le p'tit Charles était planté comme un piquet sur scène (comme Mireille Mathieu !). Malgré cela, nous aimions beaucoup ses textes (et ceux des autres qu'ils mettaient en musique), et lui aussi jouait du piano fort agréablement... Rien à voir toutefois avec notre Bécaud qui virevoltait entre debout devant le clavier et assis au bord de la scène, regardant les uns et les... unes, dans les yeux, avec ce grand sourire amical, et ce "OUAI !" célèbre, la main derrière son oreille. "Premier prix du conservatoire de Paris, piano classique" (à l'époque, il n'y avait pas d'autre choix), c'était une vraie "bête de scène" !
Mais, je vois vos paupières se fermer... Je vous offre un poème de Louis Amade, que Bécaud a chanté sur toutes les scènes de la planète, dont il avait écrit la musique... (nous l'avons chanté vendredi 4, avec ma "maison des poètes Ardéchois, lors de l'enterrement de notre ami poète Albert (in memoriam) : "Quand il est mort le poète"...
Hier, je suis allé à une "country party", ici, en Ardèche... Incroyable, non ? C'était super ! Aujourd'hui, j'ai dénoyauté 12 kg de cerises de mon arbre... C'était plutôt... chiant !
Bon dimanche à tout le monde
_________________ "Fais ce que dois, paie ce que peux !"
|