Forum de rock6070

:lol: Blackmore a toujours été reconnu pour être un grand lunatique. Lors d'un concert en Suisse, de cette tournée 1993 justement, après avoir donné un tout bon concert, Blackmore à refusé de revenir sur scène pour les rappels. Tout cela, bien entendu, pour le plus grand bonheur du public qui a commencé de grandement s'exciter.


il s'est passé l'inverse à un concert francais de 88. Le groupe, pour des raisons obscur, refuse de venir jouer un rappel. Blackmore, histoire d'enfoncer le clou, se pointe sur scène, entame le riff de Smoke, et les autres ne venant pas, hausse les épaules histoire de dire: "c'est pas moi!". Il salue le public et se barre. Début d'émeute.

Lunatique et sadique C'était quand même un sacré bordel cette tournée des 25 ans.
Autant il y a eu des moments de grâce, autant des soirs ils ne faisaient que le minimum syndical (quand ils avaient envie de monter sur scène bien entendu).

SAdique? Oui si l'on considère cette soirée aux abbatoirs de Paris où un concert de Rainbow où le manager de tournée fini à poil suspendu par les oradies au dessus de la scène... Pendant que le groupe contineu à jammer, faut pas déconner quand même.

Mais parait-il que ce manager de tournée (son nom m'échappe) s'en est pris plein la gueule par bien d'autre joyeux lurrons.

SAdique? Oui si l'on considère cette soirée aux abbatoirs de Paris où un concert de Rainbow où le manager de tournée fini à poil suspendu par les oradies au dessus de la scène... Pendant que le groupe contineu à jammer, faut pas déconner quand même.

Mais parait-il que ce manager de tournée (son nom m'échappe) s'en est pris plein la gueule par bien d'autre joyeux lurrons.

Le concert de 1978 ? Mythique tournée ...

Le 6 avril 1974 au soir, Oscar Peterson est installé bien tranquillement devant sa tv. Il tombe alors sur la diffusion en direct du concert d'Emerson, Lake & Palmer au California Jam (qui passaient après Deep Purple...). Tellement impressioné par le concert, il se rua vers le téléphone appeller son pote Count Basie et lui dire de regarder le concert.
Keith Emerson avouera que c'est le moment sa carrière dont il est le plus fier.

Oui il l'a fait sûrement plusieurs fois, et mieux que ça: en 93 il y a des soirs où ils ne montait même pas sur scène.



Si vous regardez la vidéo Come hell of High Water, vous verrez qu'il ne monte sur scène que pour le solo de Highway Star, avant il n'y est pas. ET tout ça pour balancer un verre d'eau sur un caméraman (il a jamais supporté les caméramen sur scène, remember California Jam) Puis il repart. Au moment d'entamer Black Night, il revient.

Oui je l'ai vu sur you tube y'a pas longtemps, au début j'ai cru qu'il jetait un verre d'eau sur Gillian.

En fait quand il arrive sur scène finalement, c'est pile pour le solo de Highway star et on a nettement l impression que Gillan se fout un peu de lui (genre "tu t es quand même décidé!").Mais le pire c 'est que Ritchie se vautre royalement dans le solo,tellement que c 'est hallucinant de sa part-et sur highway star ça pardonne pas! il a sa gueule des (très ) mauvais jours (déjà qu 'en temps normal... ).
Du coup le cameraman a morflé ,mais si Gillan avait aussi mangé la bouteille de flotte ça n aurait pas dérangé Ritchie

Ils ne seraient jamais tombés bas au point de se foutre sur la gueule sur scène. (eux).

J'aime bien acheter les albums des Pretty Things parce qu'il a toujours des anecdotes terribles dans les livrets. Encore un exemple, raconté par Wally Waller :

1967, le groupe doit se produire aux Sables d'Olonne. Histoire de faire des économies, il est décidé qu'on s'y rendra par la route, dans la voiture de Steve O'Rourke (le futur manager de Pink Floyd, qui bossait à l'époque pour Bryan Morrison, le manager des Pretties). Le voyage se passe bien jusqu'à l'arrivée au Mans, où ont justement lieu les 24 Heures... qui, comme chacun sait, se déroulent en partie sur une route nationale. Le sang de O'Rourke, qui adore la conduite automobile, ne fait qu'un tour (de piste) lorsqu'il comprend où il est et ce qui se passe. Ni une ni deux, il trouve un moyen de contourner les barrières de sécurité et lance sa Jaguar à toute berzingue sur le circuit, et voilà nos cinq Pretty Things secoués comme des pruniers dans la voiture totalement déchaînée ! Le groupe parviendra à échapper à la maréchaussée et à arriver à temps aux Sables d'Olonne, pour un concert qui fut apparemment explosif (comme d'habitude).

J'aime bien acheter les albums des Pretty Things parce qu'il a toujours des anecdotes terribles dans les livrets. Encore un exemple, raconté par Wally Waller :

1967, le groupe doit se produire aux Sables d'Olonne. Histoire de faire des économies, il est décidé qu'on s'y rendra par la route, dans la voiture de Steve O'Rourke (le futur manager de Pink Floyd, qui bossait à l'époque pour Bryan Morrison, le manager des Pretties). Le voyage se passe bien jusqu'à l'arrivée au Mans, où se déroulent justement les 24 Heures... qui, comme chacun sait, se déroulent en partie sur une route nationale. Le sang de O'Rourke, qui adore la conduite automobile, ne fait qu'un tour (de piste) lorsqu'il comprend où il est et ce qui se passe. Ni une ni deux, il trouve un moyen de contourner les barrières de sécurité et lance sa Jaguar à toute berzingue sur le circuit, et voilà nos cinq Pretty Things secoués comme des pruniers dans la voiture totalement déchaînée ! Le groupe parviendra à échapper à la maréchaussée et à arriver à temps aux Sables d'Olonne, pour un concert qui fut apparemment explosif (comme d'habitude).

Enorme !

.. géant comme tribulation ..

Une anecdote sur Pete Townshend. Sa déchéance au début des années 80, avec drogue et tout le tralala, est connue, mais elle a vu des moments assez drôles avec le recul.

Donc, en mars 1980, les Who sont en pleine tournée européenne lorsque Pete décide subitement qu'il en a marre du rock. Il prend sa valise et une bouteille de vin et se reconvertit... clochard en Suisse. Il passe la journée à déambuler dans les rues de Berne et se dit, avec cette logique propre aux types qui en ont un sérieux coup dans le pif, qu'il irait bien faire un tour dans la fameuse fosse aux ours de la ville (le Bärengraben). Heureusement pour lui, la fosse était vide, vu que l'hiver n'était pas encore fini : du coup, le lendemain, c'est un Pete éthylisé et sentant assez fort l'ours, mais en un seul morceau que l'on retrouve endormi dans la fosse. Le soir même, les Who se produisent à Vienne ; la performance a dû être... intéressante à voir. L'anecdote inspirera la chanson Cache Cache sur l'album Face Dances (avec son curieux refrain « il n'y a pas d'ours là-dedans, pas le moindre ours là-dedans »), élue à juste titre par Mojo « ».

Chez Motorhead...c 'est Robertson qui était à la guitare.
Je ne sais plus qui a fait ça à qui....foutre des poignées d' asticots dans les bottes d 'un des musicos avant qu il ne monte sur scène

Dimanche, à la fête de l'huma, Dutronc a demandé aux spectateurs de ne pas prendre de photos pendant quelques instants... Il a ensuite demandé qu'on lui passe une bouteille d'eau

On est en septembre, la tournée a commencée en janvier je crois? 9 mois qu'il nous la fait celle-là.

On est en septembre, la tournée a commencée en janvier je crois? 9 mois qu'il nous la fait celle-là.

Je l'ai vu samedi et il l'a faite également (je me demande d'ailleurs si les blagues de la naine sont les mêmes chaques soirs ! Le coup de la dépression ect..) Mais excellent concert !

C'est un peu cela que je reproche à certains artistes : des tournées devenues "lisses", trop "carrées". Une seule et même set-list pour toute les dates de la tournée (même pas une inversion de l'ordre des chansons), les mêmes speechs au public de soir en soir, les impros qui se font très rares, de moins en moins de petits trucs qui rendent le concert unique.

C'est exactemment ce que j'avais ressenti en voyant deux fois Polnareff de suite quand il est revenu en France