C'est le fameux syndrome du
c'était mieux avant, qui en a fossilisé plus d'un par surprise.
On en voit à toutes les époques.
Comme les mamouths qu'on retrouve encore (à poil) laineux et intacts en Sibérie, tout mimis.
Il y a le thinlizien, le terrible judapriestien, l'abominable uriahepien, reconnaissable à son allure zombiesque,
l'irritable zheulien, le coriace VeCurien, le pervers mégadessien, l'inimitable marilionesque.
Hors de leur terrible obsession mentale point de salut, ils vous eviscèreront à vif (ou à sec),
si vous tentez la plus légère incartade du style
cépa1peudaté ton truc, tu sais qu'il existe une vie aprés jeanmicheljarre (et maman coud) ?
Une lueur maligne dans leur regard chaviré, quelques mots bafouillés (tu viens de dire
QUOI),
et là seul un excellent entraînement foncier à la course à pied est efficace, et encore, j'en connais qui, entravés par leur trop longue chevelure grise, les poumons encrassés par l'abus de schmidt 10 fois coupé, l'estomac troué par la Valstar tiède, mais motivés par l'outrage,
sont encore capables de te rattraper et de te latter vite fait bien fait en hurlant des insanités,
tiens, mange, c'est du Black Sabath !
Oh Pinaise ! J'avais raté ta saillie
Ouairiz. Plusieurs jours que je ne m'étais pas fendu la pipe comme ça.

Bravo.
C'est pas si simple. Déjà, rien que les polémiques autour d'un bon, d'un vrai chanteur, digne quoi... tiens de
Black Sabbath, au hasard. Et bien mon ami, y'a de quoi faire chauffer le clavier.
Et le pire, c'est que tous ces groupes se refilent les chanteurs au fil du temps. Enfin ceux qui s'accrochent.