
Le combo d'Acid Rock appelé The Damnation of Adam Blessing est originaire de Cleveland, dans l'Ohio et il a été créé en 1968 à partir des cendres de deux groupes de garage locaux, the Society and Dust.
Ray Benick, Bob Kalamasz et Bill Schwark jouaient ensemble sous le nom de Dust, quand quelqu'un les a amenés à Adam Blessing et Jim Quinn, qui jouaient ensemble dans un groupe quasiment inconnu appelé the Society.
Adam leur demanda s'ils étaient prêts à commencer un nouveau groupe tous ensemble et la réponse instantanée fut oui.

Dirigé donc par le chanteur et frontman Adam Blessing (de son vrai nom Bill Constable), le groupe comprenait également les guitaristes Jim Quinn et Bob Kalamasz, le bassiste Ray Benick et le batteur Bill Schwark.
The Damnation of Adam Blessing fut opérationnel entre 1969 et 1973.

A savoir: Leur nom provient du roman "The Damnation of Adam Blessing" de 1961 de Vin Packer (Marijane Meaker).
Ils ont été considérés comme un groupe de Hard Rock contemporain mais ils étaient connus pour leurs arrangements et leurs harmonies mélodiques.
Ils ont eu quelques Hits régionaux, "Cookbook" en 1968, "Morning Dew" en 1969 et "Back to the River" en 1970.

Pour Joe Carducci, auteur de 'Rock and the Pop Narcotic', the Damnation of Adam Blessing était très bon pour composer du Hard Rock avec une palette complète de couleurs d'arrangement et le groupe possédait même un grand chanteur.
Selon Mike Stax, éditeur de Ugly Things magazine, ils avaient de bonnes chansons, un chanteur distinctif et puissant, et en tant que groupe, ils assuraient...

Dans la tradition des luminaires de Cleveland comme the Raspberries, James Gang, Pere Ubu, et autre Nine Inch Nails, Damnation of Adam Blessing était un véritable groupe original de Cleveland.
En fait, de nombreux fans diront qu'ils les dominaient de la tête et des épaules, bien au-dessus de ces contemporains locaux - sans parler de l'extérieur de l'Ohio.

Leur musique en plein essor était du Hard Rock de l'époque, mais les arrangements étaient beaucoup plus avancés.
Alors que la plupart des groupes de Heavy Rock comportaient des chanteurs hurlants ou criants, Damnation était tout en retenue avec des harmonies délicates, semblables à celles du gospel et alors, Adam Blessings prenait un malin plaisir à broyer ces pistes mélodiques.
Les morceaux passaient souvent et rapidement de simples arrangements de Rock à des changements radicaux de temps beaucoup plus ardus, quelquefois sur un rythme martelé pour rehausser parfois une ballade.
Et quand il s'agissait des ponts, Damnation savait captiver son auditoire.
Bien que cette grande qualité n'ait pas été la formule pour faire des Hits en dehors de Cleveland, cela n'est pas passé inaperçu pour les véritables initiés.

Au cours de leur carrière, ils ont joué avec bien des groupes, souvent liés à des grands noms contemporains comme The Byrds, Eric Clapton, The James Gang, Janis Joplin, Alice Cooper, Grand Funk Railroad, The Stooges, Ten Years After, Traffic, Sly and the Family Stone, Uriah Heep et tellement d'autres.
Ils étaient les favoris des critiques et ils avaient un public fidèle autour de Cleveland.

Après des mois de concerts locaux implacables, souvent en ouverture des héros de leur ville natale, the James Gang, the Damnation of Adam Blessing a signé avec United Artists en 1969, et ils enregistrèrent leur premier album.
Personne dans le groupe n'avait alors plus de 20 ans, et le plus jeune, Jim, avait seulement 16 ans.
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http://www40.zippyshare.com/v/3861779/file.html (les deux premiers albums réunis)
Le groupe a publié son premier LP intitulé "The Damnation of Adam Blessing" en 1969.
Entre des reprises qui semblent parfois meilleures que les versions originales, "Last Train to Clarksville", ou "Morning Dew", et des compositions personnelles vraiment talentueuses, ce disque est absolument indispensable.
Il marque litéralement la transition entre le Psyché et le Heavy Rock.
Les neuf titres sont bien construits, soutenus par de belles harmonies vocales et dotés de quelques expérimentations sonores bricolées sur le tas.
Adam Blessing fait montre d'une voix d'une extraordinaire raucité, puissante, et le line-up est doté d'une belle technique et d'une subtile complémentarité.
L'album commence par un "Cookbook" énergique. Le son est excellant, les guitares sont tranchantes, la batterie puissante, et la basse est profonde et bien audible. La mélodie est bonne, les musiciens inspirés jouent bien et les compétences vocales avec un timbre intéressant de Bill Constable sont parfaitement bien utilisées.
Le morceau qui suit, "Morning Dew", est une reprise de la chanson folklorique de 1962 de la chanteuse Canadienne Bonnie Dobson, connu surtout grâce aux versions du Grateful Dead, du Jeff Beck Group et même de Nazareth. Cependant, cette version du groupe est définitivement plus qu'intéressante et le jeu de guitare joliment inspiré par le Jazz de Kalamasz est subtile.
"Le' Voyage", un Rock au jeu hyper-rapide, est l'une des chansons plus psychédéliques de l'album, basée sur un riff dynamique hendrixien. Les voix d'harmonie sont scintillantes et la basse est déchirante. Pendant le passage instrumental apparaît un peu d'orgue rafraîchissant. Bizarrement, aucune information n'est donné sur la personne qui joue des claviers, beaucoup d'orgue électrique.
Suit "You Don't Love Me" qui comprend un dialogue sensationnel entre les guitares. Cette chanson est une nouvelle reprise d'un standard de Blues, réalisée à l'origine par Willie Cobbs; elle est également connue grâce à une performance très développée par The Allman Brothers Band en concert "At Fillmore East".
Les claviers jouent également un rôle majeur dans la ballade "Strings & Things", bien que l'attention soit surtout attirée par beaucoup de guitare acoustique et solo, et les vocaux sont expressifs. Le clavecin fait oublier le côté plutôt ringard des paroles.
"Last Train to Clarksville", une dernière reprise, mais cette fois du répertoire de The Monkees est un véritable must. C'est une chanson très agréable, avec une basse pulsante et des bons solos de guitare.
L'exceptionnelle "Dreams" crée une ambiance avec une section rythmique en trance, une mélodie fantastique et des solos de guitare passionnants. Et la partie de flûte est jouée par Constable.
En outre des sons très accrocheur, un délicieux "Hold On" beatlessien suit, avec une basse profonde et un bref solo.
Et à la fin, on trouve une petite perle intitulée "Lonely". La piste débute très sobrement, mais peu à peu, elle donne l'impression d'un moteur gonflé. Le final est un véritable chef-d'œuvre. En plus d'une certaine tension dans sa construction fantastique, l'attention est aussi attirée par le solo de guitare jazzy.
C'est donc un premier disque très intéressant, pour ne pas dire plus, mais les musiciens sont encore jeunes et ils leur manquent peut-être un peu de maturité...
Pourtant, d'après certains critiques, c'est l'un des meilleurs albums de Rock Américain, et probablement le plus sous-estimé.
Le matériel est vraiment sensationnel, créé par des musiciens talentueux, qui ne peuvent pas être accusés d'avoir un manque de talent ou de direction ou même d'un compositeur.
Il est vrai qu'il est difficile de croire que ce groupe n'a pas atteint le succès et qu'il soit tombé dans un oubli presque complet.
Après la sortie de ce premier album, ils sont partis en tournée en ouverture de The Faces.
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http://www.mediafire.com/file/m8sv09l3d ... SD1970.rar
"Second Damnation" a suivi un an plus tard, en Octobre 1970, générant le Hit mineur "Back to the River"; Une certaine confusion aux niveau du nom est survenu car le groupe a supprimé le nom 'Adam Blessing' sur la pochette, se nommant tout simplement the Damnation.
Ce deuxième album contient une série d'excellentes chansons qui confirment la créativité incroyable du groupe. Cet opus ne semble pas avoir été planifié, mais plutôt créé spontanément en studio, les pistes étant, tout simplement, le résultat de longues sessions de jam.
Il est beaucoup moins psychédélique que son prédécesseur. A l'exception de deux pistes, placées au milieu du LP, le single "Back to the River" et "Money Tree".
Il semble un peu moins sensationnel que le premier album.
La musique folklorique est en effet plus présente sur cet opus, tout à fait dans le style des compositions "Everyone" et "Smile".
Tous les autres morceaux sont d'assez 'ordinaires' Hard Rocks. Bien que parfois très agressifs, les meilleurs exemples en sont des morceaux comme "No Way" et "Driver".
En plus des chansons vraiment très réussies ("Back to the River", "New York City Woman" et "No Way"), il y a peut-être un peu moins de compositions réellement mémorables, mais, cependant, le matériel tient parfaitement la route car c'est du Rock solide qui repose sur un très bon chanteur et sur des bases d'excellents instrumentistes.
La première face est solide avec le groupe disposant d'une section rythmique des plus Heavy. Le duo de guitare dynamique de Jim Quinn et Bobby Kalamasz accentue certains des meilleurs phrasés des années soixante ... sous-estimés, mais des trucs puissants.
Les chansons "No Way", "Death of a Virgin" et "Driver" créent les belles voix d'Adam Blessing et de son frère Ken, encore mieux illustrées sur "Everyone".
Pour ouvrir cet album, rien de mieux que le martelé "No Way" qui nous montre de grandes parties de guitare et une basse tout simplement exceptionnelle.
Suit un sonique "Death Of A Virgin" tout aussi surpuissant.
Pour le morceau suivant, "Driver", rien de mieux que le début des paroles:
"Loafin on a sofa,
with a ruler and a glass of sand,
Tryin' to measure life,
As it Passes through my hand..."
("Flemmardant sur un canapé,
Avec une règle et un verre de sable,
Essayant de mesurer la vie,
Comme elle me passe à travers la main ...")
Les belles harmonies vocales des frères Adam et Ken sont encore mieux illustrées sur le morceau suivant, "Everyone".
Dans cette ambiance psychédélique, Le mélange cosmique de "Back to the River" crée un thème souligné par la basse et les guitares; Cependant, le chœur suit le resserrement du Hard Rock, au riff si distinctif.
Simple succès régional, "Back to the River" est l'une des chansons les plus accrocheuses de l'album, ce qui constitue son point fort: il aurait dû être un Hit mondial car il s'agit d'un énorme hymne facilement l'égal de bien d'autres de l'époque et au-delà!
La deuxième face commence par une grande ouverture batterie / guitare, une sorte de rêve comme une psychedelia flottante incroyable, pilotée par une base solide de batterie / basse tribale pour introduire la chanson acoustique "Money Tree".
Celle-ci est caractérisée par des contrastes dynamiques, mais cependant, l'atmosphère psychédélique se situe dans les deux fragments plus forts, ainsi que ceux qui sont plus idylliques.
Beaucoup de sons de guitare acoustique, tout en restant très populaire: Ceci est une véritable nouveauté dans le travail de l'équipe.
"Ba-dup" est un petit Rock gorgé de sève qui pourrait servir d'ouverture un vendredi soir!
Le groupe se teste ensuite dans le Blues avec une bonne surprise, "New York City Woman", un Blues Rock très classique, très réussi. Joué avec le feeling approprié et ayant toutes les autres qualités d'un bon Blues: solos de guitare, chant expressif et passionnant, et assise rythmique puissante.
Le groupe revient à ses racines de jam, et il attire l'attention avec un "In the Morning" plus élaboré avec de longs solos improvisés de même nature.
Un "Smile" court et paradoxal conclut l'album succinctement.
Ce qui frappe en l'écoutant pour la première fois, c'est le son, attirant et électrifié, le mélange d'harmonies, de guitares, de basse et de batterie, tout est simplement hors borne.
En somme, ce qui en fait un groupe clé de cette époque est le fait qu'ils soient si polyvalents; du Blues, du Funk, des jams, des harmonies de Gospel comme des voix Rock, le groupe présente un talent extraordinaire.
"Second Damnation" est "...considéré par certains comme l'un des meilleurs albums de Hard Rock jamais réalisés...". Il montre à nouveau un groupe psychédélique, blues et funk mettant en place un autre effort exceptionnel.
Avec le travail de guitare psychédélique ici et là, on obtient une force musicale qui a réussi à confirmer son style déjà bien défini et qui rattrapera finalement son retard pour devenir l'un des grands groupes des années 1960 / 70.
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http://www.mediafire.com/file/k0th7u291 ... TT1971.rar
Avec leur troisième album "Which Is Justice, Which Is the Thief", paru en 1971, Bill Schwark, le batteur a été remplacé par le frère du chanteur, Ken Constable.
Cependant, il est à noter qu'il est crédité à Damnation (comme le précédent, du moins sur la pochette), mais on n'y trouve pas de relation à the Damnation of Adam Blessing.
Cet opus ajoute des arrangements de cordes et de cuivres pour lesquels, apparemment, le groupe n'a rien à voir.
Les arrangements sont cependant intéressants et ils ajoutent pourtant parfois de la force à certaines chansons. Ceci est particulièrement évident sur les chansons "Running Away" et "Turn to Stone" qui entrent dans un territoire bien proche de "Magical Mystery Tour".
Donc, même producteur, même groupe, mais changement complet de direction, et tout ça pour quoi?
On est quand même bien loin du rythme de leurs deux premiers albums.
La décision de partir dans cette direction, avec l'ajout de cordes et de cuivres, est une facette flagrante du commercialisme, mais cela ne convient pas vraiment à leur fort, le Hard Rock. C'est, en quelque sorte, contre nature!
Il y a, bien sûr, quelques retours à leur ancien style, à savoir, par exemple "We Don't Need It", mais c'est un peu précieux tout de même.
Ils voulaient certainement affronter de nouveaux horizons mais pourquoi faire face contre la vieille formule qui leur réussissait si bien?
Pourtant, le son est toujours un peu reconnaissable, avec une production soignée et intelligente, et Bill Constable chante toujours aussi bien... Mais les compositions tombent à plat, ça manque de profondeur et d'âme et le disque peine à trouver un genre précis, la production étant par trop envahissante.
Il semble que le groupe ait eu des problèmes avec sa maison de disque et ceci explique peut-être cela.
L'ensemble est plus Pop et moins intense que les précédents opus et l'on peut clairement cependant retirer un très bon morceau, "Fingers on a Windmill"...
Mais, en conclusion, l'album est vraiment trop décevant!...
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Après la sortie de leur troisième album qui n'a pas produit de Hit, United Artists les a laissés tomber. Peu de temps après on leur a offert un contrat avec Avalanche Records, mais ils durent changer leur nom parce que le label United Artists distribuait des disques d'Avalance et ils sont devenus Glory.
Le chanteur Adam Blessing a ensuite repris à son vrai nom, Bill Constable, et son frère Ken a rejoint le groupe en tant que chanteur. Ken a une voix plus élevée que celle de Bill, ce qui produit de très belles harmonies.
En 1973, le groupe renommé Glory, publie un LP auto-intitulé sur la filiale de UA, Avalanche avant de se séparer.
Ceci est un excellent album. La musique qui le compose est du Hard Rock teinté de psychédélisme, de Soul ainsi que de flower-power dans une atmosphère ensoleillée et joyeuse.
L'album possède quelques excellents morceaux.
Par exemple, "Sunny Days", pseudo funky avec une belle basse de tout premier plan, des réverbérations apaisantes comme un de ces couchers de soleil de Californie où les rêves et la vie sont confus, alléchant avec des refrains chantés d'une voix ferme par Bill Constable, des guitares électriques et des solos saturés qui coulent au milieu en toute simplicité.
On y retrouve aussi des vrais Rocks tels que "You Can Believe" qui est un Rock particulièrement inspiré avec des harmonies vocales tout à fait incroyables ou "Hot Momma" qui est un pur Rock'N'Roll endiablé avec toujours de belles harmonies vocales et un grand jeu de guitare.
Certains morceaux, comme le merveilleux "Nightmare", nous ramène quasiment à Atomic Rooster, ou plus encore à Styx; un grand morceau de rock and roll aux teintes sombres avec un orgue acide. Ils cassent vraiment la baraque sur celui-là.
On y découvre donc une certaine similitude avec Styx dans leur son à l'écoute de toutes les parties élevées des harmonies vocales.
le single qui en est tiré "Mrs. Walker / Find Out Lover" est composé de deux des meilleurs morceaux du LP.
Cet enregistrement montre qu'ils sont devenus plus polis, funky, et un groupe de Rock plus Hard qu'ils ne l'étaient auparavant.
Non seulement la musicalité est une réussite, mais les vocaux sont absolument incroyables. Bill et Ken Constable ne font que voler le spectacle.
Les musiciens sont littéralement possédés sur cet album; Ils l'ont vraiment enjolivé du début à la fin.
Le plus remarquable étant Kalamasz à la lead guitare, il est étincelant.

Après l'album de Glory, ils se sont finalement séparés en 1973,
Le groupe aura beaucoup tourné d'un océan à l'autre et aura été l'un des groupes d'ouverture les plus achalandés du business avec des artistes aussi talentueux que Eric Clapton, Grand Funk Railroad, Bob Seeger, Alice Cooper, Uriah Heap, Traffic, Iggy Pop, The James Gang et beaucoup d'autres.
Du the Village Gate de New York au The Whisky A-Go-Go à Los Angeles, le groupe aura joué sans arrêt et aura finalement disparu en 1972
Malheureusement, en dépit d'un certain succès, ils n'entrèrent jamais dans les Charts et ne devinrent jamais particulièrement célèbres.
Le culte du groupe s'est multiplié dans les années qui suivirent son décès en 1973 et, en 1999, le barrage a explosé avec un énorme article de Doug Sheppard dans le magazine 'Ugly Things'.
Dans l'intervalle, les quatre albums originaux sont devenus de véritables collectors.
The Damnation of Adam Blessing est revenu après une pause de 28 ans pour un concert de réunion en se produisant dans une maison pleine de 3000 fans au Rock and Roll Hall of Fame & Museum de Cleveland Ohio.
Jimmy Quinn a continué à manager et à consulter des groupes, des musiciens, des compositeurs et il est toujours en consultation pour l'industrie musicale. Il a également produit des albums et sécurisé des contrats d'enregistrement pour un certain nombre de groupes et il a travaillé avec certains des plus grands artistes de l'industrie.

Ray Benich en 1970
Ray Benich avait essayé de commencer une idée appelée Roller Jam, mais avant qu'elle ne puisse être lancée, il avait été impliqué dans une 'fusillade', et il avait été condamné en 1982 à 27 ans de prison et il avait dû purger une peine pendant 17 ans et 10 mois.
Il a toujours clamé son innocence. "Le seul crime que je l'ai fait est le LP de Glory", écrit-il même sur son site.
Après cela, il a sorti un album solo puis il a travaillé sur plusieurs projets de musique et il a publié plusieurs livres. Il est également responsable d'un site Web sur le groupe. avait essayé de commencer une idée appelée Roller Jam, mais avant qu'elle ne puisse être lancée, il avait été impliqué dans une 'fusillade', et il avait été condamné en 1982 à 27 ans de prison et il avait dû purger une peine pendant 17 ans et 10 mois.
Il a toujours clamé son innocence. "Le seul crime que je l'ai fait est le LP de Glory", écrit-il même sur son site.
Après cela, il a sorti un album solo puis il a travaillé sur plusieurs projets de musique et il a publié plusieurs livres. Il est également responsable d'un site Web sur le groupe.
Adam et son frère Kenny ont fini à Houston, Billy Schwark a déménagé à Los Angeles et Bobby Kalamasz se trouve dans l'État de Washington.
Tous sont encore en activité dans la musique.
En Septembre 2007, 'Decibel Magazine' a classé le LP intitulé "The Second Damnation" comme l'un des 50 "chefs-d'œuvre de Thud-Rock de tous les temps".
"The Second Damnation" a été considéré comme plus important que les disques contemporains de Ten Years After, Bob Seger, Humble Pie, le MC5 et Mott the Hoople.
Il est allé plus loin en écrivant que le groupe était l'un des meilleurs groupe de Rock Américain dont presque personne n'a entendu parler...
Discograhie:
The Damnation Of Adam Blessing 1969
Second Damnation 1970
Which Is The Justice, Which Is the Thief 1971
Glory 1973





