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[andy]

effectivement excellent film , scotche pour moi quand je l ai vu au ciné ! vu hier soir aussi mais a la tele ça jette un peu moins quand meme , le film est long vers la fin j ai failli m endormir ! ça commence de plus en plus tard !

[lovecraftforever]

LAND 2017 SUPER !!!!



Cordialement

HP LOVECRAFT

[Bebeto]

The revenant:
Hier soir à la TV, seul devant mon poste, j'ai vu la longueur, je me suis dit, "si ça te gonfle, tu fileras au lit en chemin, fils du métal." je suis resté scotché ! Bon, impossible pour moi de ne pas penser à autre chose que les prises de vues, en lumière naturelle, -on voit trop le filtre solaire "étoile"- mais, au delà des trucages "évidents" (l'ours, les bisons) c'est surtout les déplacements hyper fluides de la caméra, linéaires puis virevoltants, dans l'eau puis hors de l'eau, très souvent en grand-angle, partant d'un point bas puis montant (comment ?) des berges escarpées, Bou Diou, j'ai eu froid pendant tout le film ! Quel travail !

Pas mal ce film, avec comme tu le soulignes des trouvailles visuelles (un peu trop chichiteuses, je trouve, le grand angle me dérange), trop long à mon goût (désir de bâtir une fresque) et un propos qui m'intéresse peu car l'impression d'avoir déjà vu ça maintes fois.
Je n'ai cessé de penser à mon film de chevet qu'est Jeremiah Johnson.

[Cooltrane]

Vu avec les nanas du taf:


Ash Is The Purest White: (les Eternels en Frainche) Au fin fond de la Chine continentale (pas trop loin du Barrage des Trois Gorges), une divine créature s'éprend du caïd local et apprend vite à le seconder dans son règne sur la pègre du coin, même si on est plus proche du système D (les Jiangsus) que des triades organisées. Mais le vent tourne et les caïds voient leurs soutiens du dessus disparaitre puis se faire attaquer plus personnellement. C'est lors d'une de ces altercations que la belle sauve son Jules en tirant des coups de feu en l'air, mais elle prend cinq ans de cabane (lui seulement un et les agresseurs pas du tout). Au sortir de taule, elle se retrouve seule dans un pays en plein changement et part à la recherche du minable lâcheur et largueur qui s'est recasé "dans les affaires". Sauf que ...

Une grande fresque étalée sur 18 ans (2001 à aujourd'hui) nous montrant une Chine assez exotique (sans trop non plus >> on parle du Xinjiang, mais on n'en verra rien) qui dépeint une Chine en voie de modernisation forcée, au risque de laisser pour compte des retardataires, toujours plus nombreux dans les provinces reculées. D'ailleurs, on ne peut qu'être impressionné par la résilience de la belle Qiao (la compagne du réalisateur à la ville), et sa volonté de rebondir aux claques successives que la vie lui assène, alors que le gros dur s'en tire beaucoup moins bien au point de revenir la queue entre les pattes sans pour autant chercher à se faire réellement pardonner. Ash (cendre) est devenu synonyme de laissé-pour-compte, les résidus d'une société moderne qui carbure à du 200 à l'heure, grimpettes de cols incluses.

Une liberté de parole assez étonnante dans une Chine que l'on continue à présenter comme répressive, mais le réalisateur n'en est pas à son coup d'essai dans le genre. Tout au plus, dans ce film, nous remâche-t'il un peu les sujets abordés dans ses dénonciations précédentes, mais le propos déjà visité reste assez soft (du moins aux yeux de votre serviteur) et ne pourrait même plus faire l'effet d'une piqûre de moustique au pouvoir central. Une belle visite de l'ex-Empire du Milieu. 8/10

[Piranha]

The revenant:
Hier soir à la TV, seul devant mon poste, j'ai vu la longueur, je me suis dit, "si ça te gonfle, tu fileras au lit en chemin, fils du métal." je suis resté scotché ! Bon, impossible pour moi de ne pas penser à autre chose que les prises de vues, en lumière naturelle, -on voit trop le filtre solaire "étoile"- mais, au delà des trucages "évidents" (l'ours, les bisons) c'est surtout les déplacements hyper fluides de la caméra, linéaires puis virevoltants, dans l'eau puis hors de l'eau, très souvent en grand-angle, partant d'un point bas puis montant (comment ?) des berges escarpées, Bou Diou, j'ai eu froid pendant tout le film ! Quel travail !

Pas mal ce film, avec comme tu le soulignes des trouvailles visuelles (un peu trop chichiteuses, je trouve, le grand angle me dérange), trop long à mon goût (désir de bâtir une fresque) et un propos qui m'intéresse peu car l'impression d'avoir déjà vu ça maintes fois.
Je n'ai cessé de penser à mon film de chevet qu'est Jeremiah Johnson.

Bien que "The Revenant" soit un bon film (même si le côté Superman du héros qui arrive à se sortir de tout peut énerver), je lui préfère la première adaptation de 1971 avec Richard Harris, "Le convoi sauvage"

[nunu]

Hier soir un classique du film noir



Mort a l'arrivée de Rudolph Mate avec Edmond O'Brien

Frank Bigelow arrive a la brigade criminelle pour annoncer qu'un meurtre a été commis, la victime lui meme. Par un long flashback le film nous raconte ensuite comment cet homme, notaire, a été empoisonné et son enquete dans le temps qu'il lui reste a vivre pour découvrir qui l'a empoisonné et pourquoi

[bratislava1]

Les joyeux lurons de 1972.

Improbable, c'est peu dire ! Je suis friand de ces navets.

https://www.youtube.com/watch?v=nNFbWCcUWJg

[Monsieur-Hulot]

Les joyeux lurons de 1972.

Improbable, c'est peu dire ! Je suis friand de ces navets.

https://www.youtube.com/watch?v=nNFbWCcUWJg

CADEAU !
https://www.youtube.com/watch?v=XyTQgkasZqc

[Algernon]

Tout cela fleure bon le naveton de très haute lignée
Chanson du générique : Philippe Castelli ! (musique Pierre Bachelet)

[vox populi]

Downsizing

Pour lutter contre la surpopulation, des scientifiques mettent au point un processus permettant de réduire les humains à une taille d’environ 12 cm : le "downsizing". Chacun réalise que réduire sa taille est surtout une bonne occasion d’augmenter de façon considérable son niveau de vie. Cette promesse d’un avenir meilleur décide Paul Safranek et sa femme à abandonner le stress de leur quotidien à Omaha (Nebraska), pour se lancer dans une aventure qui changera leur vie pour toujours.

Un film avec beaucoup de défauts : invraisemblances et longueurs mais au final l'oeuvre est sauvé par sa singularité, et la personnalité qui finit par s'en dégager.

[Piranha]

Oui, avis mitigé même si effectivement le côté "singulier" du film ne le condamne pas

[Algernon]

Sortie d'un nouveau flim de Bertrand Blier dans l'actualité, encore avec Gégé.
Je continue la vision/revision de sa filmo (en partie). Et bien, comme presque tous les Blier, Préparez vos mouchoirs c'est le plaisir des acteurs, souvent des dialogues, au cours d'un flim gentiment agaçant. Pas facile de dire précisément pourquoi, c'est pour cela que je joins l'article plus bas.
Je souris en voyant le minuscule passage de Roger Riffard qui a un perso de toubib. Évidemment, suivre le sujet Curiosités Vinyles permet de comprendre la raison de mon sourire.



https://bunkerdesinedits.wordpress.com/ ... oirs-1977/

Film poétique, surréaliste, provocateur, flirtant avec une certaine misogynie : pas de doute, on est bien chez Bertrand Blier, qui après l'accueil très mitigé de "Calmos", décide opportunément de reconstituer le duo des "Valseuses" (avec un Depardieu grande gueule et un Dewaere plus discret, suiveur du premier mais plus drôle à mon goût justement) autour d'une Carole Laure apathique et assez inintéressante.
Troisième long-métrage de Blier, qui traite notamment du désir féminin (au sens large), "Préparez vos mouchoirs" se révèle inégal et un peu mou : on assiste comme toujours à quelques fulgurances au niveau des dialogues et à une poignée de séquences mémorables (par exemple l'irruption nocturne de Michel Serrault, hilarante), mais ces scènes cultes apparaissent isolées au sein d'un ensemble longuet et trop bavard, dans un style qui ne me parle pas des masses.
Une fois encore subsiste cette impression étrange que l'on ne va nulle part avec Blier. Impression corroborée par l'incapacité persistante du réalisateur à offrir un dénouement satisfaisant à ses films.
Reste le plaisir immédiat de vivre une expérience hors-norme avec une œuvre décalée et irrévérencieuse, Blier le provocateur n'ayant pas son pareil pour susciter des grincements de dents dans la vieille France giscardienne.
Une dimension non-négligeable et digne d'éloges, mais une trentaine d'années plus tard, la magie n'opère hélas plus vraiment.

https://www.senscritique.com/film/Prepa ... e/95420734

[Cooltrane]

le double shot du w-e précédent

Son choix:
Mon Bébé: Où nous disait l'affiche : Lol (qui était un peu La Boum chapitre 17), 10 ans plus tard, mais il faut lire La Boum 45, sauf que la belle Sandrine remplace la superbe Sophie - on comprendra pourquoi très vite pourquoi cette dernière à décliner l'invit'. En effet, on nage en plein caramel syrupeux donnant vite des nausées cérébrales et un écœurement digne d'une indigestion aux barbe-à-maman (c'est encore plus infâme dans le genre). Vous décrire ce qui se passé?? une mère fusionnelle esseulée (on comprend aisément son ex - un Attal peu présent à l'écran) étouffe sa petite dernière et couve son papounet d'amour (un Chesnais grognon peu crédible en Casanova sur le retour) et commence à se faire des mecs en prévision de son esseulement prochain. Un film fait par des femmes et pour les femmes et essentiellement regardé par celles-ci, le peux de mecs dans la sale ayant forcément été victimes de chantage affectif. Du Lisa Azuelos pur jus, quoi, trop concentre avec rajout de pulpe doucereuse.
LE film le plus crapuleusement et scandaleusement sucré du siècle (à un tel point que le placement de bonbons est inutile), sans la moindre hésitation, et il faudra prévoir une visite pour vos nouvelles carries et un détour en urgence vers le département endocrinologie à l'hopital le plus proche pour diabète à venir - ceux déjà atteint devront tripler leur dose de glucophage. Dire que l'on dépense des budgets subsidiés pour de telles cornichoneries est désolant.... Laissez la téloche s'occuper de tels navets au sucre d'orge. Bons sentiments ad nauseam pour cerveaux ramollis et gâteaux gâtés, quoi... 5/10


Mon choix:
Escapada: (Belgo espagnol): une famille hennuyère d'origine espagnole est un peu coincée dans l'ornière creusée suite au décès du patriarche, forçant le fiston ainé empêcher le naufrage de l'entreprise de transport familiale - un camion épicètou. La veuve survivante étant confinée à casa pour raison de santé et surveillée par la petite sœur (désignée d'office). Alors que la décision est prise de vendre la propriété familiale du coté de l'Andalousie pour faire face, le frère cadet (des soucis) refait surface précisément là avec sa bande d'alternatifs (conduisant un ancien corbillard) réfractaires à la vie standardisée de la société dominante. S'en suit une série d'altercation entre les frangins, de galères communistes totalement clichées et d'ennuis judiciaire (y compris le contrôleur social à l'enfance - joué par le devenu trop rare Sergi Lopez) et autres petits naufrages individuels et collectifs.
Le cadre andalou (une presque hacienda viticole délabrée) est en phase avec le propos social du film (parfois à la limite du documentaire), sans que l'on ne bascule pourtant dans la Dardennerie misérabiliste (le soleil andalou faisant garde-fou), mais le tout tient quand même la route (on pense souvent à Ce Qui Nous Lie de Klapish qui nous plante un décor parallèle) et certains personnages deviennent attachants. Ce film bilingue français -espagnol est une première oeuvre assez convaincante de la jeune Sarah Hirtt, et il a plein de charme, en plus de vous interpeler sur la prison de la vie économique et du traintrain quotidien. 7/10

[whereisbrian]

Le frère cadet (de mes soucis)
Il est trouvable où, le Escapada ?

[Cooltrane]

Le frère cadet (de mes soucis)
Il est trouvable où, le Escapada ?

Sorti en sale à Bruxelles mercredi dernier.