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[Cooltrane]

Car si certains disent que la femme est l'avenir de l'homme, ya pas intérêt qu'elle soit le moule de la moule matrice, car c'est foutu d'avance (...):

Je ne vois pas trop le rapport entre tout ce qui a été dit (les conneries dont elle serait l'auteur, ses mauvais films, etc.) et le fait qu'elle soit une femme

Ce n'est parce qu'Eric Ciotti, Balkany ou autres sortent et font des conneries, qu'on en tire des conclusions sur le genre "homme" , hein ?

Mais bon, ça te regarde.

je connais pas ces deux-là... kessskizonfèèèè??

écoute, je ne voudrais pas passer pour un goujat (çà, c'est probablement déjà trop tard ) ou un machiste ou encore un phallocrate (surtout moi, le gouin, quoi!! ) ou un misogyne

Tout ce que je disais à propos de la (pierre) Tombasle, c'est que c'est sa beauté physique qui la sauve ou lui permet de jacter devant tout le monde, bien plus que son intelligence (maintenant comme elle est né dans la "haute", cela aide aussi).
Du coup faudrait surtout pas qu'elle serve de modèle à certaines écervelées qui l'idéaliserait

Ajd, les nannas remettent en cause le "patriarcat" en l'accusant du sort de la planète et se base bien sur le dicton d'Aragon "la femme est l'avenir de l'homme" est en train d'être récupéré à des fins féministe et cette pétasse-là en premier



écoute sa grande déclaration juste après la reprise de Ferrat.

[Roberto Del Corazõn]

écoute, je ne voudrais pas passer pour un goujat (çà, c'est probablement déjà trop tard ) ou un machiste ou encore un phallocrate (surtout moi, le gouin, quoi!! ) ou un misogyne

Si tu tiens tant que ça à prouver ta bonne foi (ce que personne ne te demande de faire, remarque), la base serait de ne pas utiliser des termes dégradants pour qualifier l'objet de ton ire. Je n'apprécie pas non plus Dombasle mais ne pense cependant pas qu'elle mise exclusivement sur sa supposée beauté plastique pour entretenir son hypothétique popularité (à laquelle j'ai peine à croire, c'est plutôt le genre de personnage que tout le monde adore détester). Je pense plutôt que c'est sa personnalité hors norme (sans juger de sa qualité) qui lui a permis de maintenir une certaine visibilité (un bon client comme on dit dans les médias) et je n'y perçois ni calcul alambiqué ni arrivisme forcené, à la limite peut-être qu'elle surjoue son personnage d'excentrique, et encore je n'en suis pas persuadé. Qu'on l'apprécie ou non ses choix sont ce qu'ils sont et ne lui ont vraisemblablement pas rapporté beaucoup d'argent, dont elle n'a probablement pas besoin d'ailleurs. Et je ne commente pas tes réflexions sur son genre ni le rôle qu'il aurait joué dans sa carrière parce que je ne pige pas ce que ça vient foutre là-dedans. Luchini aussi a bossé avec Rohmer ou Maccione et accumule les sorties surréalistes, mais personne ne songerait à attribuer ça à son sexe ni à y voir une stratégie patiemment élaborée.

[Cooltrane]

Luchini aussi a bossé avec Rohmer ou Maccione et accumule les sorties surréalistes, mais personne ne songerait à attribuer ça à son sexe ni à y voir une stratégie patiemment élaborée.

[Roberto Del Corazõn]

Et ? (Merci pour Perceval, si tu relis mon message tu peux te douter que j'étais au courant )

[Cooltrane]

c'est autre chose qu'Arielle non??

Il n'est pas sinistre, lui: il est tordant (et p-ê même tordu)...
Et s'il a l'air sérieux sur ce coup-là, c'est que j'ai pas trouvé le délire radiophonique (improvisé comme souvent) où tout le monde était plié de rire.

[Roberto Del Corazõn]

Que ce soit drôle ou non c'est de l'ordre du jugement de valeur, et à mon sens pas pertinent dans la discussion en cours.
On peut par contre interroger les intentions. Luchini cherche à faire rire. Je ne pense pas que ce soit le but de Dombasle, du moins pas systématiquement. En général quand elle amuse c'est de façon involontaire, à ses dépens. Faut comparer ce qui est comparable... (Là tu m'diras, c'est moi qui ai introduit la comparaison avec Luchini.)

[Cooltrane]

(Là tu m'diras, c'est moi qui ai introduit la comparaison avec Luchini.)

Bof, c'est moi qui avait le premier mentionné L'arbre, La Médiathèque et Le Maire comme le seul Rohmer (que j'aie vu) que j'aie un peu apprécié... donc le boomerang me revient un peu dans la g...

[Monsieur-Hulot]

Mais dans ce film que tu cites, elle (Dombasle) s'auto-parodie, prouvant qu'elle a de l'humour (la scène où elle est allongée sur un divan style princesse de Montpensier)
image là : https://dvdtoile.com/Film.php?id=2574&page=4

[nunu]

Moi aussi.
Sacré casting !

Je sors du Jarmusch. J'ai bien aimé et la fin qui part totalement en sucette. Le casting est au poil spécialement Tilda Swinton.

[Roulie]

Arf, depuis mardi je n'en entends que des avis pas super positifs.
Mais bon, j'irai quand même. J'aime beaucoup Jarmusch et ça m'intrigue.

[nunu]

Perso j'aime bien Jarmusch (mais je suis pas un fan absolu non plus), mais moi deja dans la salle j'avais des jeunes qui pensaient voir un film de Zombies classique, du coup ils ont été décu

[bratislava1]

L'opinion publique de Chaplin, un beau film / drame datant de 1923 (bientôt un siècle!) -techniquement, la trame du film et le jeux des acteurs, c'est tip top.

[Algernon]

Chaplin développa dès l'enfance une passion pour la musique et apprit seul à jouer du piano, du violon et du violoncelle. Il considérait que l'accompagnement musical faisait partie intégrante du film et à partir de L'Opinion publique il consacra beaucoup de temps à ce domaine. Il composa lui-même la bande-son des Lumières de la ville et fit de même pour tous ses films suivants ; à partir de la fin des années 1950 et jusqu'à sa mort, il resonorisa tous ses anciens courts-métrages silencieux.
Comme il n'avait reçu aucune éducation musicale, Chaplin ne savait pas lire ou écrire des partitions. Il fit donc appel à des compositeurs professionnels comme David Raksin, Raymond Rasch et Eric James pour mettre en forme ses idées. Certains critiques ont ainsi avancé que la musique de ses films devait être attribuée aux compositeurs ayant travaillé avec lui ; Raksin, qui participa à la mise en musique des Temps Modernes, a néanmoins souligné le rôle créatif et moteur de Chaplin dans le processus de composition. Au début de ce travail, qui pouvait durer des mois, Chaplin décrivait exactement ce qu'il voulait aux compositeurs et jouait les éléments qu'il avait improvisés au piano. Ces mélodies étaient ensuite développées en étroite collaboration. Pour l'historien du cinéma Jeffrey Vance, « même s'il s'appuyait sur ses associés pour mettre en forme des instrumentations complexes, les consignes musicales étaient les siennes, et pas une note n'était placée sans son accord ».
Les compositions de Chaplin donnèrent lieu à trois chansons populaires. Smile, composée pour Les Temps modernes, fut par la suite mise en paroles par John Turner et Geoffrey Parsons, puis interprétée par Nat King Cole en 1954. Pour Les Feux de la rampe, Chaplin composa Terry's Theme, qui fut popularisée par Jimmy Young sous le titre Eternally en 1952. Enfin, la chanson This Is My Song, chantée par Petula Clark pour La Comtesse de Hong-Kong, connut un grand succès commercial et atteignit la première place du palmarès britannique en 1967. En dehors de ses deux récompenses d'honneur, le seul Oscar que Chaplin remporta fut celui de la meilleure musique de film à l'occasion de la réédition des Feux de la rampe en 1973.

[Monsieur-Hulot]

NOTA BENE : Chaplin est l'un des TRÈS RARES gauchers à jouer du violon à droite !!! Je n'en ai vu qu'un seul autre dans toute ma vie ! Aussi rare qu'une housse pour cathédrale.

[Dark Pink]

Et ton film à toi, M Hulot ? C'est quand qu'on le visionne ?