
whereisbrian a écrit:Ouais, je faisais ça dans le temps avec les bouteilles de pif dans les supermarchés, je transformais un château
millésimé au tarif velours de l'estomac. En remplaçant les étiquettes. Après le pitch était le choix de la caisse (et de la caissière). Il fallait que l'écart de prix soit pas trop alertant. J'ai (presque) honte.
Par contre, pas avec les disques. Jamais.
33rpm a écrit:Jamais aimé emprunter et devoir rendre.
Aldaran a écrit:33rpm a écrit:Jamais aimé emprunter et devoir rendre.
Je suis de ceux-là aussi. Si le disque m'a plu, ça me déchire de le rendre. Je préfère aussi acheter.
Internet est devenu ma médiathèque. Je pirate sans compter et sans le moindre scrupule.
Et me console de ce « vilain geste » en constatant que mon budget culturel est largement dépensé chaque mois.
Curieusement, il se trouve que ce budget à très fortement augmenté depuis internet et l'accès au « gratuit ».
Je ne dois pas être seul dans ce cas.
gillesmon a écrit:les cassettes TDK C90 et les CD-rom remercient la médiathèque de Marseille-Bonneveine où j'allais régulièrement emprunter et rendre les CD dans les années 90-2000 !
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