EPITAPH / KINGDOM / DOMAIN (Bio)

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EPITAPH / KINGDOM / DOMAIN (Bio)

Messagepar alcat01 » 04 Fév 2013, 22:46

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Les groupes de Prog Rock Britanniques de la fin des années 60 ont largement fait école auprès des jeunes groupes en Allemagne.
Les Allemands ont généralement préféré garder les paroles en Anglais, et plusieurs formations, comme Blackwater Park, 2066 & Then et Epitaph, avait des chanteurs Britanniques!

L'histoire d'Epitaph commence pendant l'Hiver 1969/70 à Dortmund dans le sous-sol du Music Club Fantasio, où le chanteur guitariste Britannique Cliff Jackson, son compatriote le batteur James McGillivray et le bassiste chanteur Bernd Kolbe (qui avait déjà joué avec Jackson dans un groupe du nom de Red Roosters) répétaient.
Alors que dans le club, de groupes connus tels que Yes, Black Sabbath ou Colosseum donnaient des Concerts, le trio se préparait sous le nom de Fagin's Epitaph dans le sous-sol en vue de leur première apparition.
Ce nom a été créé sur un coup de tête dans l'ivresse de l'alcool.
Pour la petite histoire, Mike Fagin était le personnage si méchant du roman de Charles Dickens Oliver Twist qui obligeait les enfants à voler.

Cliff et ses hommes profitait de l'entrée gratuite.
Ainsi, il arriva qu'ils étaient présents en tant que groupe d'accompagnement du Bluesman Champion Jack Dupree.
Celui-ci n'étant pas venu, Epitaph décide d'épauler le pianiste de Blues Günter Boas, alors assez bien connu.
Le concert est un succès retentissant et 800 personnes sont enthousiastes.

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Günter, à partir de cette collaboration, est tellement impressionné qu'il demande à Cliff si le groupe peut aller jouer dans le Westfalenhalle entre Golden Earring et Blues Livin.
Ils font un superbe show ce soir-là!

Günter Boas travaille à cette époque au centre culturel de la Ville de Lünen où des festivals de Blues ont lieu régulièrement.
Un producteur a entendu Fagin's Epitaph et les invite à Hambourg dans les Alsterstudios pour enregistrer l'album "Piano Blues" de Günter Boas.
Tout en jouant les sessions d'enregistrement, Cliff et son combo joue encore et encore son propre matériel pour le contrôle du son.
Entendant cela, le producteur est impressionné.
Il propose spontanément à Epitaph d'enregistrer un LP avec son propre matériel.

Au moment de cette transaction, le groupe était encore installé à Dortmund.

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Avec un contrat avec Polydor dans le sac à l'Eté 1970, ils déménagent à Hanovre, et jouent une série de concerts très fréquentés.
Le groupe est maintenant dans la cave du club Mülltonne, alors probablement le lieu le plus important de rock dans la ville.

Les premières sessions de leur premier album, sorti 1971 sur Polydor, sont enregistrées aux Wessex Studios de Londres à la mi 1971, mais tout va de travers, certainement en grande partie à cause du LSD.
Le LP a cependant été terminé dans les Windrose Studios, à Hambourg, où un quatrième membre a été ajouté au groupe en la personne d'un deuxième guitariste chanteur appelé Klaus Walz.
Au cours de ces sessions, le nom a été raccourci à Epitaph.
Le premier album d'Epitaph a été enregistré sous la direction de Gerhard Mueller, le seul producteur exécutif.

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Le premier album intitulé "Epitaph" sort à l'Automne 1971
Les cinq morceaux enregistrés ressemblent à ceux des groupes tels que Deep Purple ou Black Sabbath, mais surtout, en particulier les premières incarnations de Uriah Heep.
Cependant, Cliff Jackson d'Epitaph ne cherche pas à copier le style vocal de David Byron.
Il y a à la fois des morceaux de Rock rapides et des ballades lentes jouées sur une texture de mellotron (utilisé par Bernd Kolbe), généralement dans la durée standard réservée au Heavy Prog, c'est à dire entre 5 et 7 minutes.

Après la sortie de leur premier album, Epitaph donne suite à une invitation de la Bremer TV pour passer à l'émission 'BeatClubs "pour y jouer le titre "Early Morning".

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En Avril 1972, Epitaph enregistre son deuxième album, "Stop, Look and Listen" aux Audioton Studio, à Berlin avec le producteur Stan Regal.
Cet album contient également cinq morceaux, proches par le style de leur première opus.

Les deux albums sont recommandés pour les fans du genre Hard Prog.

Au début de 1973, Epitaph publie deux singles avec des titres ne figurant pas sur leurs LP sur la filiale de Polydor, Zebra: "Autumn '71"Couplé avec"Are You Ready" et"We Love You Alice" Couplé avec "Paradise for Sale".
Ces deux singles se retrouvent en bonus sur l'édition en CD du second album.

Ce second LP leur apporte la consécration de la part des Rock critiques.
La presse fait même l'éloge du groupe en tant que "révélation internationale de l'année! "

Après ce début prometteur, un avenir radieux s'ouvre pour le groupe.
Pendant l'année 1973, Epitaph, en raison de leur brillante réputation en tant que "groupe live furieux" trouve l'occasion de travailler avec des groupes tels que Chuck Berry, Curved Air, Golden Earring, Rory Gallagher, Status Quo, Emerson, Lake & Palmer et Manfred Mann's Earth Band.
À Munich, les quatre musiciens joue avec Status Quo.
Le groupe continue par des festivals comme le Oster-Festival de Hamburg.
Ils ont joué comme un groupe Allemand uni aux côtés de Jane et Odin.
Après sa performance à un Rockfestival au Waldbühne de Berlin (avec Karthago et Scorpions), où Epitaph fait preuve de beaucoup d'enthousiasme avec un spectacle en tout point remarquable, le groupe accepte l'offre de la compagnie de disques Américaine Billingsgate Records de faire une tournée Américaine.

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Le groupe investit beaucoup de temps et d'argent dans son troisième album, sorti en 1974 intitulé "Outside the Law".
Sur cet album, le batteur McGillivray, qui souffre d'asthme et qui veut musicalement réorienter le groupe vers le Jazz Rock quitte Epitaph et il est remplacé par Achim Wielert-Poret à la batterie et aux percussions.
La musique sonne plus polie cette fois, alors que Epitaph semble abandonner ses éléments progressistes pour un style Heavy Rock plus direct.
Influencé par Black Sabbath, Deep Purple et Uriah Heep, Epitaph incorporent ses indéniables racines progressistes et ses compétences instrumentales en créant un son qui aujourd'hui peut être considéré comme du Prog-Metal.

Malheureusement tous leurs rêves de réussite sont brutalement ébranlés, car Billingsgate fait rapidement faillite et tout leur argent est perdu.
Epitaph avait organisé une vaste et coûteuse tournée de promotion aux Etats-Unis avec l'ancien membre de Karthago, Norbert Lehmann à la batterie en Octobre 1974.
A son retour, le groupe se retrouve sans un sou et se voit obligé de tout vendre pour survivre et rentrer chez eux.
Leur nouvel album faisant partie de l'ensemble de la faillite de Billingsgate, Epitaph avait tout misé sur cet album et le groupe est donc contraint de se dissoudre en 1975.

Le groupe se reforme secrètement plus tard, à la mi-Août, la même année, mais n'enregistre pas d'autres albums avant 1979.

En 1976, le groupe fait de nombreuses tournées dans toute l'Allemagne.
Ils avaient loué une école à Graue, petite ville située entre Brême et Hanovre, pour leur répétition.

Le mélodieux Hard Rock fortement orienté US du groupe conduit Christian Wagner, le directeur du Rockpalast, à prendre Epitaph pour un contrat d'enregistrement à la TV.
Peu avant l'enregistrement, Jim McGillivray quitte à nouveau le groupe.
Pour le remplacer, Epitaph fait appel à Fritz Randow qui, entre autres, avait joué avec Eloy pendant de nombreuses années.
Le concert est enregistré le 2 Février 1977.
Ce passage à la télévision, ainsi que de nombreux shows en public (comme le Deutschrock-Festival de Krefeld, pendant la Pentecôte 1977) réussissent à convaincre les fans que le groupe avec son Rock à l'américaine a de l'avenir.

En raison de divergences musicales, Klaus Walz et Bernd Kolbe sont remplacés à la mi-1977 par le guitariste Heinz Glass et le bassiste Luitjens "Harvey" Janssen.
En outre, le groupe intégre le claviériste Michael Karch.

Après ces changements majeurs, Cliff Jackson reste seul membre du groupe d'origine.
Le nouveau line up est donc composé du guitariste Heinz Glass, du bassiste Janssen Harvey, du claviériste Michael Karch et du batteur Fritz Randow.

Epitaph est engagé pour jouer en première partie du groupe Hongrois Omega sur une tournée en Europe à l'Automne de 1977.

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Le groupe signe finalement un nouveau contrat d'enregistrement avec Brain Record, le résultat étant l'album "Return To Reality" sorti en 1979.
Le groupe joue maintenant un Boogie Hard Rock mélodique sans véritable signe distinctif, ni intérêt particulier.
En 1978, Epitaph épaule Omega dans trois concerts à Budapest, en face de 30.000 spectateurs.

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A Dortmund, Peter Ruchel de Rockpalast dit spontanément au groupe qu'ils sont bien repartis.
Après ce deuxiéme spectacle du Rockpalast enregistré le 3 Septembre 1979, et diffusée le 25 Novembre, Epitaph entre aux Hot Line Studios à Francfort pour préparer un nouvel album "See You In Alaska".

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Le groupe sort cet album en 1980 et celui-ci est un disque de style assez similaire au précèdent, et Karch quitte le groupe peu après, laissant les quatre autres pour enregistrer un bon album live qui sort en 1981.
Sans clavier, Epitaph se retrouve plus "pure et simple, puissant et terrien" comme dit le Hamburger Morgenpost.

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Ainsi, en Décembre 1980 sort un album live enregistré pendant la tournée "See You in Alaska Tour" du 26 au 28 Décembre 1980 à Wertheim, Dallau et Triburg.

En 1981, le nouvel Epitaph se dissout donc dans une indifférence commerciale pratiquement générale, mais, assez étonnamment, l'Epitaph original (Jackson, Walz, Kolbe, et Lehmann) fait bientôt une nouvelle tentative de réunion à l'Automne 1981 qui ne sera finalement que de courte durée.

Après une apparition à la télévision dans Rockpop, Epitaph s'est présenté au 82er Pfingst-Festival à Würzburg et Munich (où se trouvaient aussi ZZ Top, Saga, Saxon, Joan Jett And The Blackhearts, Extralarge et Spliff) dans l'enjouement habituel et de vitalité.

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En 1982 sort, en quelque sorte, le chant du cygne du groupe, "Danger Man" sur le petit label Rockport qui est peut-être meilleur que les albums produit par Brain Records, mais malheureusement qui n'est pas en mesure de retrouver l'esprit du temps passé.

Bien qu'il ne marche pas à l'époque, l'album deviendra plus tard une influence pour de nombreux groupes Britanniques de New Wave of Metal et peut être considèré comme un premier exemple important du mélange Prog-Rock / Heavy Metal.

Norbert Lehmann qui est déjà installé à Hambourg, quitte le groupe à l'Automne 1983.
Peu de temps après, la dissolution du groupe est envisagée en vertu de la situation financièrement intenable.
En effet, après 1983, l'ensemble du matériel du groupe est volé à Dortmund, et Epitaph se retrouve de nouveau complètement démuni, car, bien sûr, il n'était pas assuré, comme la plupart des groupes de l'époque.

Klaus Walz rejoint leurs rangs après le départ du guitariste Klaus Hess pour la Formation Jane de Hanovre.

Epitaph continuera donc malgré toutes ces circonstances plus que défavorables, mais épisodiquement.

Bernd Kolbe et Cliff Jackson vont plus loin et forment un nouveau groupe appelé Kingdom, pendant que Randow joue avec Victory, Eloy et autre Sinner.
Aujourd'hui, il joue dans Saxon.
Bernd Kolbe a également été vu, entre temps, avec le groupe Jane.
Et Cliff Jackson s'occupe pendant dix ans de Unna, un magasin d'instruments de musique.

Mais Epitaph n'a jamais complètement disparu.
Quand Grobschnitt en 1986 joue un concert au Stadthalle de Hagen pour son 15 ième anniversaire, il émerge du show un groupe étonnamment frais appelé Epitaph qui joue toujours le meilleur du Rock en grands professionnels.
Epitaph reçoit une ovation.
La formation qui a joué comprenait Cliff Jackson, Bernd Kolbe, Dirk Edelhoff et Ralf Bloch (ancien membre de Red Rooster)était assis derrière la batterie.
Après cela, le groupe a fait toute une série de concerts dans la région.
Le line up est ensuite composé de Cliff Jackson, Bernd Kolbe, Freddy Dietrich et Mario Schrammer qui répétent comme des fous, mais malheureusement rien n'arrive.

Fin 87, ils prennent la direction de l'Horus-Studio de Frank Bornemann à Hanovre pour faire quelques demos.
Epitaph fait huit titres en trois jours.

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Finalement, l'idée leur vient de se rebaptiser Kingdom.

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Le premier album intitulé "Lost In The City" sort en 1988 et il se vend très bien.
Ensuite, Kingdom doit changer de nom à la demande du groupe Américain Kingdom Come.

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Ainsi apparait le même nouveau CD sous le nom de groupe Domain.

Avec un son plus Hard et tranchant, Domain avait encore un bon feeling. Et c'est alors que la carrière du guitariste Axel "Ironfinger" Ritt (Grave Digger), de l'ancien chanteur Carsten Lizard Schulz (Evidence One et al.), et du claviériste Erdmann Lange, de l'ancien bassiste Jochen Mayer (Boysvoice, Demon Drive, Casanova) et de l'ancien batteur Stefan Köllner ont vraiment commencé...

Avec Domain, ils se sentent revivre.

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Le groupe impressionne principalement les fans de Metal mélodique de retour dans les années 1980 avec leurs premières œuvres, "Lost In The City", "Before The Storm" et "Crack in The Wall", ainsi que de leur Hits tels que "Lost In The City" et "I Don’t Wanna Die".
Le single "Heart Of Stone" est une chanson de la mini-série allemande" Bastard".

Ils font de longues tournées et des enregistrements dans plusieurs stations de télévision.

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Mais ce furent leurs prochains albums, "One Million Lightyears From Home" (2001), "The Artefact" (2002) et "The Sixth Dimension" (2003) ainsi qu'une tournée couronnée de succès avec les légendes du Rock, Glenn Hughes et Joe Lynn Turner (HTP) qui ont donné au quintette une place sur la scène européenne du Metal mélodique.

Dans l'intervalle, Kolbe est parti, lui aussi, pour Jane.

Les membres d'Epitaph sont partis jouer avec d'autres groupes, ainsi, le chanteur guitariste Jackson a lancé son propre Cliff Jackson Band et, plus tard, Cliff Jackson & the Crazy Cats.

A l'occasion de son 25e anniversaire de professionnalisme, Heinz Glass organisa au Kammgarn de Kaiserslautern une soirée avec tous les groupes dans lesquels il avait joué, enfin presque tous ...Epitaph en faisait partie et le groupe joua huit titres.
Ce fut une super ambiance, et les anciens combattants s'en sont donnés à coeur joie.

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En 2005, Domain frappe de nouveau un grand coup avec le concept-album, "Last Days Of Utopia", basé sur une idée de l'ancien chanteur Carsten Lizard Schulz.
Et pour accompagner le travail, ils ont trouvé un excellent partenaire en Limb Music Products, qui devaient les accompagner lors de leurs projets dans les années à venir.
Avec "Last Days Of Utopia" et un tas de vieux Hits dans leurs bagages, Domain, sur leur Melodic Metal Alliance Tour semblait plaire aux fans.

Pour la promotion de leurs albums "One Million Lightyears From Home", "New Horizons", "The Artefact", "The Sixth Dimension" et "The Essence Of Glory" (édition limitée d'un Best Of album) qui fut récemment publié en Asie, ils sont allés en tournée à travers la Corée.
Au Busan Festival, Domain a été accueilli par 25 000 fans enthousiastes.
Ils ont également joué un spectacle sur la plus grande émission du samedi soir à la télévision Coréenne pour des millions de téléspectateurs.
Avec un long travail de 25-minutes intitulé "Shadowhall", le groupe décrit l'ascension et la chute d'un clan de vampire.

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Le nouvel album est sorti en édition limitée 2CD/DVD digipack avec un DVD incluant une tournée documentaire de 40 minutes intitulée "7 days in Korea" avec des commentaires et des entrevues avec Carsten Lizard Schulz et Axel Ritt, un clip live de 35 minutes du festival de Busan, un documentaire télévision de 15 minutes, et un "best of" CD tiré des albums "Lost In The City", "Before The Storm", "Crack In The Wall", "One Million Lightyears From Home", "The Artefact“ and "The Sixth Dimension", ainsi que deux chansons de reprises sorties précèdemment sur les CD de compilation, "Stormbringer" et "Over The Hills And Far Away".

Pour l'anecdote, le line-up de Domain a changé à nouveau en 2007, lorsque le bassiste Steven Wussow (ancien membre de IllectronicRock , de Shylock , de Iridium, et de Misfits & Fjuse), le batteur Jens Baar (ancien IllectronicRock) et le chanteur Nicolaj Ruhnow (Irony, Nick Hellfort, Tokyo Blade) ont rejoint le groupe.

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Après une tournée Européenne 2007 couronnée de succès, Domain est entré aux Meadows Studios à Darmstadt (Allemagne) pour l'enregistrement de leur nouvel album : "The Chronicles of Love, Hate and Sorrow".
Mais cela nous emmène très loin du groupe d'origine, Epitaph, qui, lui, s'était de nouveau remis reformé!

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Le contrat de Domain avec Teldec, par l'intermédiaire d'East West, avait pris fin en Janvier 2000 et Epitaph avait pu ainsi donner le 22 Janvier un concert de retrouvailles mémorable, à la brasserie Linden à Unna.

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Ce concert mémorable a été un succès retentissant et il est sorti sur un DVD intitulé "Live At The Brewery". Une réussite totale, qui est le moyen d'obtenir une édition limitée pressé sur CD à partir de la bande enregistrée.
Pendant cette soirée, il y avait aussi un producteur de renom qui avait promis beaucoup de chose au groupe. Le groupe a attendu, mais absolument rien ne s'est passé.
Jim McGillivray s'énerve et il repart à nouveau et il est encore remplacé par Achim Wielert.

En même temps que le DVD est publié le CD (édition limitée) de cette résurrection sur Hurricane Records.
EPITAPH est à nouveau là!

De nombreux concerts et tournées ont lieu avec beaucoup de succès.
Quoi qu'il en soit, un an plus tard, ils donnent un nouveau concert à la Brasserie Linden et ils obtiennent alors beaucoup d'offres de concert.

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Au fil des ans, Epitaph se permet un certain nombre de petits shows "réunion", sortant même un autre CD "Live in the 21st Century" en édition limitée pour les fans en 2001.

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Le résultat: un engagement supplémentaire du groupe pour un concert au Rockpalast, enregistré entre le 21 et le 23 Décembre 2004 à l'Harmonie de Bonn.
Des extraits de ces enregistrements se sont retrouvés publiés en 2005 grâce à SPV Krautrock sur le DVD "Meeting" (avec Birth Control, Guru Guru, et Amon Düül entre autres).

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En Septembre 2005, le groupe entre au studio pour enregistrer le premier album d'Epitaph depuis plus de 20 ans.
Avec "Remember the Daze", enregistré entre Septembre 2005 et Août 2006, les membres fondateurs Cliff Jackson, Bernd Kolbe, Heinz Glass et Achim Poret font un album avec une réelle identité.
Une identité qui est façonnée par 30 ans d'expérience musicale, au cours de laquelle le groupe est resté et est toujours fidèle à ses racines, alors que son style unique a beaucoup évolué à notre époque.
Le résultat est véritablement un album produit pour le marché international incluant la première chanson acoustique du groupe, la luxuriante et complexe "Ships (In The Dark)".
"Remember The Daze" est publié à la fin Mars 2007 et les fans et les critiques sont impressionnés par cet album studio qui met en lumière les talents instrumentaux de chacun des membres.
"Remember The Daze" a, en fait, agréablement surpris le monde de la musique.

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"Live At Rockpalast" sort à la fin de 2007 suite à la publication du DVD enregistré en Décembre 2004 pour le Rockpalast à l'Harmonie de Bonn.
Un album live qui laisse nos souvenirs remonter aux temps passés, mais surtout juste un brillant album live tout à fait intemporel.

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En 2009 est sorti un nouvel album du groupe intitulé "Dancing With Ghosts" qui semble être le digne succésseur de "Remember The Daze"...

Discographie

Epitaph (1971)
Stop, Look and Listen (1972)
Outside The Law (1974)
Return to Reality (1979)
See You in Alaska (1980)
Live (1981)
Danger Man (1982)
The Reunion Concert (2000)
Live in the 21st Century (2001)
Remember the Daze (2007)
Live At Rockpalast (2007)
Dancing With Ghosts (2009)

Kingdom:

Lost In The City (1987)

Domain:

Our Kingdom (re-release of 'Lost In The City' album) (1988)
Before The Storm (1989)
Crack In The Wall (1991)
One Million Lightyears From Home (2001)
The Artefact (2002)
The Sixth Dimension (2003)
Last Days of Utopia (2005)
Stardawn (2006)
The Chronicles Of Love, Hate And Sorrow (2009)


sources: Dag Erik Asbjørnsen, Kurt Mitzkatis
Dernière édition par alcat01 le 10 Avr 2014, 19:28, édité 27 fois.
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Re: EPITAPH (Bio)

Messagepar Phil » 26 Sep 2013, 09:13

Récupéré le Live At Rockpalast 2004.
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Re: EPITAPH (Bio)

Messagepar alcat01 » 08 Avr 2014, 22:29

Bio mise à jour!
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