Existe aussi sous Android. Firefox Focus est une bonne alternative à Chrome. Pour la pub uniquement. Mais un malinphone comme une carte bleue, tu n'as pas d'autres choix d'être pucé comme les animaux de compagnie. A moins de prendre un tel. no name comme dans les films avec des cartes prépayées payés séparément en bitcoin ou en liquide en prenant soin de mettre une cagoule sur le visage et de jeter le tout séparément.
De toute façon, va p'têt falloir mettre une cagoule. Homologuée !
De toute façon, va p'têt falloir mettre une cagoule. Homologuée !
Le foulard qui masque le visage n'est toujours pas homologué pour les manifs. Le gouvernement risque de bien être emmerdé quand le peuple masqué descendra dans la rue en septembre pour demander des comptes.
Encore un album sous estimé de Dylan , avec son seul titre jazzy .
A la sortie de "another self portrait" certains on dit que ces extraits issus de self portrait et new morning aurait pues faire un seul très bon album.
Cat Stevens - Mona Bone Jakon (1970, LP) Cat Stevens - Tea For The Tillerman (1970, LP) Cat Stevens - Teaser And The Firecat (1971, LP)
Ce matin c'est Cat Stevens.
J'enchaîne les disques en bossant, c'est agréable.
Matinée calme, avec un thé miel caramel.
Je suis un grand fan de Cat, que j'écoute régulièrement. Ces disques sont ceux de la famille, de ceux qui trônaient... Cette semaine j'écoutais l'un peu moins connu Back to Earth, avec, notamment "Last Love Song", qui me fait chavirer :
Vous avez trop de la chance, je suis installé pour bosser dans la pièce où il y a toute la musique, mais comme je suis appelé régulièrement au téléphone + konfkall, difficile d'écouter des disques, sauf tôt (ou plus tard).
Quand je reviens à Cat Stevens, c'est surtout à ces trois là.
Et la plupart du temps à Mona Bone Jakon (une face pop, une face folk).
Je possède également Catch Bull at Four et Numbers, mais ils ne tournent quasi jamais.
Le 106 mars, le millième doudou vivant a été certifié par l'Office informel des enfants crédibles. Alain Damasio
Encore un de ces matins où j’écume les étagères du bas où sont rangés les disques de mon adolescence. On pourrait croire que ce sont ceux qui prennent le plus la poussière et pourtant, ce sont sûrement les albums auxquels je revient le plus souvent. D’entre tous, ce sont ceux qui vingt ans plus tard me flanque le pareil frisson dans la nuque. À même de me renvoyer à un âge où sans internet j’achetais les disques pour les pochettes et les looks, où je programmais mon lecteur CD pour écouter un disque dans l’ordre qui me paraissait le plus cohérent et où il m’aura fallu 3 ans pour trouver le fameux t-shirt Ramones blanc sur noir. À l’évidence, pour moi, New York c’était les faux frères de Forrest Hill, Washington était la capitale des jeunes à jeun krishna et vener’ de Minor Threat et la Californie c’était le turf des Dead Kennedys. Ah, good times.
Il est d’usage de louer Jello Biafra et d’oublier les autres. Son humour, son vibrato, ses paroles et ses époustouflantes prestations scéniques n’effaceront pas pour moi son omnipotence et sa mégalomanie croissante lui qui s’est souvent joué des despotes. J’ai toujours vu comme une terrible injustice d’entendre parler des Dead Kennedys en résumant tout cela à l’appareil piloté par le génial Jello Biafra considéré comme une sorte de Midas par tout un tas de neuneus. L’une des forces du quatuor étant justement dans la diversité de sa formule : les guitares surf, ciselées et épiques d’East Bay Ray — vrai héros oublié —, la nonchalance de la basse ronde de l’étudiant Klaus Flouride et évidemment la puissance de la batterie dépouillée de Peligro. Tout ça au service d’albums parsemés d’happenings, sketchs — jamais clownesque — et morceaux très court. Tout un tas de trucs qui feront du groupe un des parents avec les Bad Brains de pleins de scènes alternatives.
Au-delà de tout ces considérations, il y a les morceaux… et Plastic Surgery Disasters en est plein : Government Flu, Forest Fire, Dead End, Buzzbomb, l’épileptique Bleed For Me. Et puis il y a le dernier morceau du disque : œuvre-chef, 15 sur l’échelle de Richter. Moon Over Marin, l’histoire d’un tanker coulé qui fout de la merde plein la plage ; le morceau est à cette image : un single de surf démoniaque et complètement crade. Composée toute en descente (infernale), disto au plancher, vibrato au taquet, cymbale ride tabassée, survolée par une basse impassible et servie par JB qui claque un texte plein de trémolo. C’est comme une eau-de-vie ça fout file un coup de fouet !
Je fais dans le pastoral, un disque que je me repasse de temps à autre, le printemps aux lumières automnales semble être sa saison. Folk-rock avec un zeste pscyhé.
Je fais dans le pastoral, un disque que je me repasse de temps à autre, le printemps aux lumières automnales semble être sa saison. Folk-rock avec un zeste pscyhé.
Ah oui !!! J'ai réussi à en trouver quelques autres (mais pas facile-facile) ; comme Gypsy par exemple. C'est bien beau !
Ce soir m'a semblé idéal pour me laisser porter par KRAFTWERK... Après l'excellent "Computer World", je recule de quelques années et me laisse de nouveau hypnotiser par l'étrange et prenant "Radio-Activity".
Un des trucs cools aussi du confinement, c'est que quitte à rester chez soit, autant s'éclater à cuisiner.
Ce soir, donc, c'est tartiflette, et cuisine en musique. Pas un album, mais un live (la platine rentre pas dans la cuisine).
Soundcarriers ! À Londres en juin dernier, apparemment.
Et bon sang ce que a l'air bien sur scène !
Et ce qui saute tout de suite à l'oreille, c'est que c'est nettement plus jam que sur disque !
Ici ça tire un peu plus vers le kraut que vers la pop psyché à laquelle ils nous ont habitué.
Le 106 mars, le millième doudou vivant a été certifié par l'Office informel des enfants crédibles. Alain Damasio