Forum de rock6070

A Scarcity of Miracles ? On en a parlé un peu plus haut.

Oui, mais vous en disez pas grand chose..

Oui, mais vous en disez pas grand chose..

(Vous n'en dites pas grand chose.)

Le père Fripp qui fait la promo des tasses King Crimson Collector's Club. La classe franchement.


J'espère que c'est ironique

https://www.dgmlive.com/shop/cgi-bin/sh ... cgi?cat=67

Oui, mais vous en disez pas grand chose..

(Vous n'en dites pas grand chose.)

ça m'apprendra à taper trop vite. :)

On parlait sur le topic Led Zep' de l'influence énorme du blues sur les groupes des 60's.

Ce qui est frappant, c'est que le jeu de Fripp est absolument vierge de toutes influences. Il disait d'ailleurs n'avoir jamais écouté de Blues dans sa jeunesse, il ne se reconnaissait pas dans cette musique. Il n'aime pas non plus les guitaristes au son "bluesy", il déteste donc Clapton et surtout Hendrix qu'il considère comme le plus surestimé des mauvais guitaristes.
A vérifier, mais il me semble qu'il avait également déclaré en interview que les bluesmen sont de très mauvais musiciens.

Sacré Robert.

Moi j'ai tendance à relativiser les propos d'un type qui annonçait la fin de la civilisation occidentale pour les années 90.

On parlait sur le topic Led Zep' de l'influence énorme du blues sur les groupes des 60's.

Ce qui est frappant, c'est que le jeu de Fripp est absolument vierge de toutes influences. Il disait d'ailleurs n'avoir jamais écouté de Blues dans sa jeunesse, il ne se reconnaissait pas dans cette musique. Il n'aime pas non plus les guitaristes au son "bluesy", il déteste donc Clapton et surtout Hendrix qu'il considère comme le plus surestimé des mauvais guitaristes.
A vérifier, mais il me semble qu'il avait également déclaré en interview que les bluesmen sont de très mauvais musiciens.

Sacré Robert.

Totalement faux.

Fripp a longtemps affirmé avoir rencontré Hendrix à ses débuts et lui avoir serré la main gauche en une sorte d'hommage à son immense talent.

D'autre part, au début des 70's, KC interprétait en live une version blues de "In the court of crimson King" (Basée sur le riff de riot in cellblock N° 9) dont on peut trouver la trace entre autres sur le bootleg du concert de de Detroit le 13 Novembre 1971

Moi j'ai tendance à relativiser les propos d'un type qui annonçait la fin de la civilisation occidentale pour les années 90.

Et pourtant...

Moi j'ai tendance à relativiser les propos d'un type qui annonçait la fin de la civilisation occidentale pour les années 90.

Et pourtant...

Donc...

Vierge de toute influence ... tu parles ! Moi qui sais jouer "Epitaph" à la guitare, je te garantie que si tu ne joues pas le morceau en arpèges mais en Bossa-nova, ben ... c'est de la bossa ! Quel poseur ce Robert ! Comme il se la pète avec ses citations à la c** sur Hendrix. Mais quel talent aussi ... moi qui ne sais pas jouer les autres morceaux de K.C, je te le dit, il sait y faire le petit intello.

Vierge de toute influence ... tu parles ! Moi qui sais jouer "Epitaph" à la guitare, je te garantie que si tu ne joues pas le morceau en arpèges mais en Bossa-nova, ben ... c'est de la bossa !

Le "alien fashion show" fait une reprise Jazzy du "Detroit Rock City" de Kiss... De là à pretendre que la bande des 4 fardés est clairement influencée par le mouvement jazz il y a comme une marge.

Quel poseur ce Robert ! Comme il se la pète avec ses citations à la c** sur Hendrix.

Sur ce point on a affaire à 100% à un pur ragot d'internet (de plus), totalement contredit par sa biographie et ses déclarations d'époque.

Plus généralement, que le type soit particulier j'en conviens, mais "se la péter" n'est pas le terme exact

Au pif une confession de ce bon Robert retrouvée dans un Best des années 70 récupéré dans une brocante : "Jusqu'à 21 ans je n'avais aucune oreille, au point de ne pas différencier un accord majeur d'un accord mineur"...

Pas vraiment de quoi faire concurrence aux témoignages risibles d'autosatisfaction d'un Ted Nugent ou d'un Yngwee Malmsteen, non ?

@ Youri Ligotmi , je suis 100 pour 100 d'accord avec toi .

Vierge de toute influence ... tu parles ! Moi qui sais jouer "Epitaph" à la guitare, je te garantie que si tu ne joues pas le morceau en arpèges mais en Bossa-nova, ben ... c'est de la bossa ! Quel poseur ce Robert ! Comme il se la pète avec ses citations à la c** sur Hendrix. Mais quel talent aussi ... moi qui ne sais pas jouer les autres morceaux de K.C, je te le dit, il sait y faire le petit intello. Pas de la tarte en effet, mes doigts et mon cerveau ont encore le douloureux souvenir des breaks de "21st Century Schizoid Man" et "Larks Tongues In Aspic part 1". Je réussis encore à rejouer le premier, mais seulement quand il n'y a pas trop de vent. Les arpèges de "Epitaph", c'est magique, tout comme le "Peace : A Theme".

Plus j'écoute et plus je me dis qu'une compilation de ballades du Crimso, ça aurait une sacrée gueule, alors que c'est pourtant l'un des chapitres où l'on n'attend pas forcément la bande à Bobby. Et pourtant, imaginez :

1. I Talk to the Wind – 6:05
2. Moonchild – 2:24 (la version courte !)
3. Cadence and Cascade – 4:27
4. Lady of the Dancing Water – 2:47
5. Prelude: Song of the Gulls / Islands – 16:05
6. Book of Saturday – 2:49
7. Exiles – 7:40
8. The Night Watch – 4:37
9. Fallen Angel – 6:03
10. Starless – 12:16

(là on pourrait arrêter le CD 1 pour les gens qui n'aiment pas le groupe après 1975)

11. Matte Kudasai – 3:47
12. Heartbeat – 3:54
13. Two Hands – 3:23
14. Walking on Air – 4:38
15. Inner Garden I – 1:47
16. One Time – 5:22
17. Inner Garden II – 1:16
18. Eyes Wide Open – 4:08
19. A Scarcity of Miracles – 7:27 (bon, c'est discutable...)

Perso je trouve que ça ferait une sacrée compilation. Et peut-être un bon moyen d'initier au groupe les gens qui seraient un peu effrayés par sa réputation de grosse machine expérimentale.J'ai loupé du débat dites moi !
Intéressante cette version, excellente idée de compile, je la veux !
Intéressante aussi la discussion sur la technique de gratte/composition de Fripp.
Disons qu'il a l'avantage de ne pas se reposer sur une gamme ou sur une facilité des doigts, résultat évident d'un travail acharnissime à outrance, de là à n'avoir aucune influence en terme de style, laissez moi rire. Tout reste du Rock post-beatlien. Si on élargit le point de vue aux autres instruments, impossibles de ne pas voir d'influences dans les sax et les flûes de Mel (I talk to the wind, In the court, Pictures of a city). Ce sont des exemples flagrants, la guitare de Fripp en a aussi